La maturité des entreprises françaises sur le Social Selling

En prenant en compte l’ensemble de nos critères de maturité :

  • La présence sur les réseaux sociaux
  • L’entité en charge de la gestion des réseaux sociaux
  • Outils utilisés par les services Marketing, Digital, Commercial et Expérience Client
  • Initiatives lancées pour développer le Social Selling
  • Perception d’utilité potentielle des réseaux sociaux
  • Contribution du Social Selling à l’acte de vente

Nous avons pu observer sur notre panel un faible taux d’entreprises qui pourraient être  qualifiées de potentiellement avancées en termes de Social Selling.

Ce faible taux de maturité global fait l’état d’une certaine « méconnaissance » du Social Selling dans les entreprises françaises qui peinent à développer une vraie stratégie autour de cette pratique.

Cela est dû aussi à la perception que les entreprises ont des possibles impacts des réseaux sociaux sur le développement commercial à venir au sein de leurs business. Tant que les dirigeants ne considèrent pas le Social Selling comme un axe stratégique, aucune action réfléchit dans un plan stratégique ne pourra être mis en place.

Pour comparaison, le paysage français du Social Selling actuel, se rapproche de celui des USA en 2014 avant son essor.

Lors de la publication de son « Social Selling maturity model » (SSMM). Selon l’étude de PeopleLynx, le pourcentage d’entreprises américaines étant matures était de 0%. Ce barème ne prenait en compte qu’un seul critère, les actions internes de l’entreprise à destination du Social Selling. Nous pouvons également observer, toujours selon leur barème, que le retour attendu de ce système de vente est de 15 à 20% supérieur à un canal classique.

 

Pour aller plus loin sur les entreprises françaises et le Social Selling télécharger l’étude en cliquant sur le lien suivant :